Les experts que nous avons interrogés s’accordent à dire que ce fait de violences chez les jeunes concerne une minorité d’adolescents. C’est d’ailleurs ce qu’a souligné hier, jeudi 18 avril, le Premier ministre Gabriel Attal. Mais quand on regarde le profil des mis en cause, pour certains délits, les mineurs sont sur-représentés. On en parle avec : Jean-Pierre Rosenczveig, magistrat honoraire, ancien président du tribunal pour enfants de Bodigny. Sophie Vénétitay, secrétaire générale adjointe du syndicat enseignant SNES-FSU. Antoine Jardin, ingénieur de recherche au CESDIP/CNRS. Et Mehdi Dehdouh, associatif du quartier de la Monnaie à Romans-sur-Isère.
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